Le rêve de Madison Flower

Dans un grand champ de fleurs, une jeune femme se promène en gambadant et en sifflant d’un air heureux la chanson des Schtroumpfs. Cette jolie demoiselle, aux cheveux brun foncé, avec ses yeux magnifiquement bleus, se prénomme Madison. Après avoir gambadé trente minutes, elle aperçoit un banc muni d’un motif en or, au beau milieu du champ fleuri. En s’approchant de plus près, elle remarque que son nom y est gravé. Elle se demande alors qui est la personne qui porte le même prénom qu’elle. Or, Madison se rend compte que son nom de famille est également inscrit. Elle se dit qu’elle a dû ajouter son nom sur le banc en or dans une ancienne vie. Elle est surprise d’avoir gravé son nom complet.  

Ensuite, elle entend des jappements au loin. Curieuse, Madison commence à attirer le chien avec de délicieux pains aux brisures de chocolat et aux bananes. Le chien s’approche pour s’empiffrer. C’est un épagneul japonais blanc et brun. Madison, voyant que le chien n’a pas de médaille, décide de le baptiser Mousse à Café. Elle lui demande s’il a des frères et sœurs. Le chien part chercher ses semblables. Cinquante-trois chiens apparaissent au loin, au le début de la forêt enchantée. Pour que tous les chiens soient en sécurité. Madison décide de construire un chenil avec une maison en forme de champignon de Schtroumpfs. Après avoir construit ces deux bâtiments, Madison décide de prendre du repos et d’aller dormir.  

Elle se réveille dans la salle de pause de la brûlerie Rousseau. Elle se demande combien de temps elle est restée endormie. Elle continue son travail, qui est de préparer des cafés pour des clients comme Francis, en chantant la chanson des Schtroumpfs. Elle dessine un chien dans le café d’un client et cela lui rappelle son chien nommé Mousse à Café dans son rêve lors de sa pause de travail. En se retournant, elle se brûle avec de l’eau chaude pour laver les machines à café.  

Tout à coup, elle se réveille sur son banc doré proche de sa maison dans le champ de fleurs, avec son chien Mousse à Café sur les genoux. Elle regarde le paisible coucher du soleil. Elle vécut, heureuse, dans sa maison, dans le champ de fleurs avec ses cinquante-trois chiens.